J’enfouirai l eau de tes yeux
Dans le secret de mon pas
J’emboiterai le rythme la danse
De tes silences à l épice subtil
Juste un rien
L’instant respire
Translucide
Reste la patience de l’inattendu
Du mot risqué
Comme une douceur de l exactitude
Desserre le frein
Laisse la couleur de l’irréel
Ourler ton pas
Au fil de l eau de ton regard
merci très beau léger, et fait partir l’imaginaire
belle Automne
take care Stan
C’est frais, ça coule, c’est vrai, ça roule …
Et ça vit ! Merci !
J’aime dans tes poèmes que les émotions s’entrechoquent. Dans le cubisme, les peintres ont fragmenté le tableau pour mieux montrer l’invisible.
Comment ne pas desserrer le frein, après pareille invitation à se glisser dans tes mots subtils, chère Brigitte ! Merci