Le silence explose
La mort est là
Le corps en pause
Tu n’es plus là
Le feu dévaste
Et le silence doute
Du rire si vaste
Musique des jours
Le silence se tait
Et les mains nouent
Le temps défait
Où tout se joue
Le silence recueille
Le rêve tout proche
La vie s’effeuille
De mots moins moches
Le silence avance
A pas de cœurs
Les jours devancent
Le vide, la peur
Encore un pas
Courir là-bas
Tu n’es plus là
Mais nous sommes là
🙂
Merci Brigitte
En écho
Un poème :
Toi qui peux consoler,
vois l’hiver de l’indicible déchirer le cœur
de notre ville
et comme je suis lasse.
Personne ne devrait mourir autrement
que dans les mots du poète
sous le ciel des visages aux regards amis
Amen
Maria Mailat