Vivre

Cette furie de vivre et d’exister,

Cette douleur enfouie dont on se punit.

Le corps dessine-t-il cette peine cachée

comme on porte le cri du silence ?

Le coffre doit s’ouvrir.

Le torrent balayer la boue.

Et si ce n’était la faute de personne ?

 

Une réflexion au sujet de « Vivre »

  1. Le sourire et le visage devant ton visage. Les bras peuvent emprisonnés parfois surtout quand la parole ne prolonge pas la promesse d’être.
    Merci beaucoup Brigitte pour ces éclats vivants

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s