Cette furie de vivre et d’exister,
Cette douleur enfouie dont on se punit.
Le corps dessine-t-il cette peine cachée
comme on porte le cri du silence ?
Le coffre doit s’ouvrir.
Le torrent balayer la boue.
Et si ce n’était la faute de personne ?
Cette furie de vivre et d’exister,
Cette douleur enfouie dont on se punit.
Le corps dessine-t-il cette peine cachée
comme on porte le cri du silence ?
Le coffre doit s’ouvrir.
Le torrent balayer la boue.
Et si ce n’était la faute de personne ?
Le sourire et le visage devant ton visage. Les bras peuvent emprisonnés parfois surtout quand la parole ne prolonge pas la promesse d’être.
Merci beaucoup Brigitte pour ces éclats vivants